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Infos généralistes

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mercredi 14 mars 2007

La radio numérique sur les ondes en 2008

Le Gouvernement a choisi la norme de diffusion de la radio numérique. Ce sera le T-DMB.
Les premières émissions pourraient démarrer dès 2008.


A quelques semaines des échéances électorales, la décision du Gouvernement en a surpris plus d'un. Une norme de diffusion a été retenue pour la radio numérique ! Le ministre délégué à l'Industrie, François Loos, vient d'indiquer son choix : le T-DMB  (Terrestrial Digital Multimedia Broadcasting).

Après le succès de la TNT, la radio se devait - elle aussi - d'entrer dans l'ère du numérique. Le choix d'une norme de diffusion était une première étape essentielle. Les premières émissions en numérique pourraient être diffusées en 2008.

Comme la télévision, la radio va donc bénéficier des avantages du numérique. La qualité du son devrait s'améliorer et l'offre de stations s'enrichir. La bande FM est, elle, au bord de la saturation. La France compte en effet quelque 6 000 fréquences. Cette densité, l'une des plus fortes d'Europe, n'empêche pas une disparité en fonction des régions. « Les trois quarts des auditeurs n'accèdent qu'à une quinzaine de programmes », précise Philippe Gault, président du Sirti (Syndicat interprofessionnel des radios et télévisions indépendantes, qui regroupe 140 opérateurs audiovisuels locaux, régionaux et thématiques indépendants).

La numérisation permettra aussi d'offrir une diversité thématique et d'améliorer le confort d'écoute, par exemple en donnant la possibilité de mettre en pause un programme. Elle apportera également quelques habillages multimédias : affichage du logo de la radio, de la photo de l'invité d'une émission, d'une carte météo, de la pochette du disque qui passe à l'antenne, de brèves d'actualité... tout dépend de l'imagination des opérateurs.

Les récepteurs radio actuels sont incapables de capter le signal T-DMB. L'émergence de la radio numérique va donc donner naissance à une nouvelle génération de postes. Ils pourront prendre la forme de radios de poche, d'autoradios et seront également combinés à des appareils mobiles déjà existants (téléphones, PDA, etc.).

Premières expérimentations à Paris

Le CSA (Conseil supérieur de l'audiovisuel) et les stations de radio vont maintenant devoir préparer le terrain avant le basculement vers le numérique. Il y a en effet différentes étapes préliminaires (évaluation des besoins en émetteurs, couverture...) avant de lancer les appels à candidature et d'attribuer les licences de diffusion. L'étude des dossiers déposés par les radios prendra plusieurs mois et pourrait se prolonger jusqu'à l'automne 2008.  « D'ici là, des expérimentations devraient été menées courant 2007 à Paris. Comme c'est la ville française où la bande FM est la plus dense avec une quarantaine de stations, cette démonstration permettra de valider la technologie T-DMB et de voir combien il faut notamment d'émetteurs  [pour couvrir la ville, NDLR] », explique Philippe Gault.

Le choix pour la norme T-DMB s'est fait au détriment de six autres technologies. Certaines ont été expérimentées en France ou à l'étranger. Le T-DMB est une solution dérivée du DAB (Digital Audio Broadcasting), standard européen pour la diffusion de radios numériques. Depuis décembre 2005, le T-DMB est utilisé en Corée du Sud où plus d'un million de récepteurs ou de téléphones compatibles étaient en circulation en juin 2006. L'Allemagne a aussi opté pour ce standard l'an passé.

En France, il a été testé début 2006 par un groupe composé de Samsung, Bouygues Telecom, TF1, Europe 1, Europe 2 et VDL (société spécialisée dans la diffusion de radio numérique). Principal avantage : il nécessite moins d'émetteurs. Il faut en effet trois ou quatre antennes pour couvrir Paris en DVB-H (Digital video broadcasting handheld, la TNT mobile) contre un ou deux en T-DMB.

Source : 01net

mardi 13 mars 2007

Les députés adoptent Ubuntu et OpenOffice

Plus de 1.100 postes du Palais Bourbon basculent comme prévu vers le libre.

Annoncé en novembre dernier, on en sait un peu plus sur le déploiement du libre dans l'informatique des députés français. 1.157 postes informatiques seront équipés, dès la prochaine législature, c'est-à-dire après le 17 juin 2007, date du second tour des élections législatives, de logiciels 'libres'.

Un appel d'offres a été lancé en janvier. On en connaît les vainqueurs. Précisément, les machines seront équipées du système d'exploitation Ubuntu dérivé de Linux. Cet OS se veut simple, accessible et ergonomique.

Firefox deviendra le navigateur officiel de l'Assemblée, Thunderbird sera utilisé pour la messagerie tandis qu'OpenOffice a été choisi comme suite bureautique.

C'est Linagora qui a été choisi pour prendre en charge le déploiement, en association avec Unilog. Mandriva, qui était également en compétition n'a pas été retenu.

Ce mouvement très symbolique vers le monde du logiciel 'libre' ne semble cependant pas dicté par une quelconque philosophie 'open source', mais bien par des considérations financières.

Dans son communiqué, l'Assemblée a en effet précisé qu'elle profitera de la gratuité de ces produits pour réaliser de "substantielles économies". Aucune indication en revanche sur un éventuel budget de formation des députés et de leurs équipes… Mais selon l'étude commandée par l'Assemblée nationale, les économies sur les licences compensent de loin les frais de formation.

Cette percée du libre dans l'administration française est loin d'être une première. Après la gendarmerie nationale et la mairie de Paris, c'est le ministère de l'Agriculture et de la Pêche qui a fait récemment le choix du logiciel libre. La suite bureautique Office de Microsoft sera progressivement remplacée par OpenOffice.org.

Selon Linux.org, les 120 responsables du conseil des systèmes d'information (CSI) du Ministère avaient à choisir entre les deux applications. Ils ont opté pour la solution open source car ce choix respecte les préconisations du RGI (Référentiel Général d'Interopérabilité) qui impose des formats ouverts et correctement spécifiés. Ceci permet de faciliter les échanges entre services de l'Etat ainsi que l'archivage sur de longues durées.

L'opération nécessitera un plan de formation sur 3 ans et un investissement de 1,5 million d'euros, alors que le budget avancé par Microsoft dépasse les 2,5 millions d'euros (pour renouveler 15.000 licences).

Rappelons qu'en 2005, le ministère de l'Agriculture et de la Pêche a déjà abandonné pour ses serveurs informatiques Windows NT4 au profit Linux. Mandriva avait alors pris en charge la migration.


Source : Silicon.fr

jeudi 22 février 2007

Microsoft Virtual PC 2007 disponible en version finale Française

Microsoft Virtual PC 2007 est maintenant disponible en version finale française et gratuit.



Systèmes d'exploitation hôte :
Windows Vista™ Business
Windows Vista™ Enterprise
Windows Vista™ Ultimate
Windows Server 2003 Standard Edition
Windows Server 2003 Standard x64 Edition
Windows XP Professional
Windows XP Professional x64 Edition
Windows XP Tablet PC Edition


Systèmes d'exploitation pris en charge :
Windows Server 2003 Standard Edition (32-bit x86)
Windows Server 2003 Standard x64 Edition
Windows Vista Business
Windows Vista Business 64-bit edition
Windows Vista Enterprise
Windows Vista Enterprise 64-bit edition
Windows Vista Ultimate
Windows Vista Ultimate 64-bit edition
Windows XP Professional Edition
Windows XP Professional x64 Edition
Windows XP Tablet PC Edition
Windows 2000 Professionnel
Windows 98 Deuxième Édition
IBM OS/2 Warp 4 Fixpack 15, OS/2 Warp Convenience Pack 1 et OS/2 Warp Convenience Pack 2


Téléchargez Virtual PC 2007 en version 32 ou 64 bits

La release note de Microsoft sur Virtual PC 2007

Le site officiel de Microsoft Virtual PC 2007 (en Anglais)

Nouvelle version de Windows Desktop Search

La version 3.01 de Windows Desktop search est désormais disponible.

Le moteur de recherche qui permet de retrouver très rapidement toutes sortes de documents grâce à une indexation très efficace est disponible au téléchargement.
Pour rappel, Outlook 2007 se base sur cette indexation pour les recherches de courrier, il en va de même pour OneNote 2007.
Cette version prend en charge l'indexation des fichiers UNC, une meilleure stabilitée et permet un meilleur déploiement sur un parc de PC (un fichier ADM est inclus dans le package).
Si vous avez une version antérieure déjà installée, ce n'est pas la peine de la désinstaller, la nouvelle version met à jour automatiquement votre ancienne version.

Télécharger Desktop search pour Windows XP SP2

Télécharger Desktop search pour Windows Server 2003

Configuration requise :
Windows XP SP2, Windows Server 2003 ou Windows 2000 SP4
Nécessite Microsoft Outlook 2000+ ou Microsoft Outlook Express 6.0+
Processeur Pentium 500 MHz ou plus requis (1 GHz recommandé)
Minimum 128 Mo de RAM (256 Mo recommandés)
Recommandé - 500 Mo d'espace disque dur. La taille de l'index dépend de la quantité de contenu de votre disque dur

Windows 64 bits n'est pas pris en charge

Le site officiel de Windows Desktop Search

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